Dour Festival 2007

Je ferai un compte rendu tous les jours (si possible)

quelques photos seront disponibles lundi sur mon blog : http://www.20six.fr/puissance4

La totalité des photos sera visible sur mon myspace : http://www.myspace.com/anal_satan


-------------------------------------------------------------------------------------

Dour Festival Day 1 :


Nous y voici enfin ! 361 jours se sont écoulés précisément depuis le concert des Dandy Warhols qui colturaient l'année passée le festival de Dour. Et c'est avec plaisir qu'on ressortait les docs cette année pour aller défier la boue du Dour Festival par cette météo incertaine.

Pour la première fois en 6 années consécutives que je vais à Dour j'avais parfaitement calculé le temps qu'il nous faudrait pour pénétrer à l'intérieur du site après les formalités habituelles (parking, ticket, repérage des scènes, programme...)

Et nous avions même quelques minutes d'avance avant d'assister au concert de Blutch, groupe que j'avais déjà vu en avril à Liège. Une petite musique d'intro bien cheap et ringarde... et VLAAAAAAAAAANNN voilà le festival lancé à gros coups de riffs bien gras orientés Doom. Les mecs de Blutch assurent encore mieux qu'à Liège, après quelques inquiétudes sur le son de guitare, c'est beaucoup mieux quand on s'approche de la scène, où le groupe a vraiment un son mortel. Des compos grandiloquantes, ils sont également visiblement ravis d'être là et nous remercient entre chaque morceaux. Vraiment très très cool.

Petit passage rapide pour entre voir quelques morceaux de I Love UFO... assez atroce, on ne restera pas bien longtemps tellement c'est pénible.

De retour sous le chapiteau où s'étaient produits Blutch il y a moins d'une heure, c'est maintenant au tour du duo de Om de défendre leurs titres. On s'attend évidemment à du gros son, d'autant que le bassiste a sorti l'artillerie lourde en terme de Matos, ampli orange, et deux amplis ampeg en plus de ça, le line-check nous confirme qu'on va assister là à un truc assez dingue. Le concert débute par "Flight of the eagle", envoutant morceau de 20 minutes où le batteur souffre sur ses futs pour garder le rythme et où le bassiste enchaine les accords impossible avec une décontraction déconcertante... splendide, sublime, trippant. S'en suit le deuxième morceau, le tubesque "At Giza"... là c'est le pied total, tout est parfait, le son de basse est immense, la batterie rempli son rôle à merveille, la voix est envoutante comme un rituel religieux, et la montée finale rend le public fou furieux... Une vraie réussite. Enfin le groupe annonce qu'ils vont jouer un morceau du dernier album et se lance dans un titre trippant et planant à souhait pendant 10 minutes puis dans une véritable boucherie de disto pour la fin... On imagine sans peine qu'en sortant sur Southern Lord et en étant produit par Steve Albini, cette petite pépite va juste être un hymne en puissance ! Le groupe s'éclipse, concert du jour pour ma part.

S'en suit ensuite une conversation asseze marrant avec une britannique éméchée

"D'you like Burning Witch ? Oh ! You like ? Gimme Fiiiiiiiiiiiiiiive !!!! ....Southern Lord is the best label in the world !!!!!!"

Dour c'est aussi ça, très fun.

Là on est malheureusement dans une petite période "creuse" du festival, pas tant de chose que ça à se mettre sous la dent, il faut attendre 2 h.

On décide alors d'aller voir ce que donne Year Of No Light... mouais, pas convaincu du tout... ils essayent de faire une sorte de Isis plus bourrin, mais c'est vraiment atroc à écouter, surtout la voix qui est vraiment beaucoup trop forcer. Sans saveur ce concert.

Après avoir mangé un morceau on écoute un peu The Experimental Tropic Blues Band, le début commence pas trop mal, même si ça reste du sous Jon Spencer... mais très vite les guitares deviennent trop criardes et on décide d'aller voir ailleurs ce qu'il s'y passe.

Après avoir passé notre curiosité devant Aaron, vraiment très mauvais, une sorte de mix de Pascal Obispo, James Blunt et Calogero (c'est dire si le cocktail est indigeste)... nous trouvons asile quelques instants pour la fin du set de Superlux qui alternent entre relans de White Stripes et Electro-Clash trop timide pour être bon, ça passe le temps, mais une fois de plus ce n'est pas vraiment assez bon pour nous transporter.

Enfin les choses sérieuses recommencent, Guitar Wolf se pointe sur scène ! Alors comme d'hab on a droit aux clichés, tout de cuir vétus, lunettes noires et pauses ridicules, les japonais savent faire dans le secon degré et le public s'en amuse. Musicalement c'est un mix fort peu original de Ramones et de AC/DC, mais scéniquement quelle énergie ! Des pauses de Rockstar en veut tu en voilà, une capacité à déchainer le public incroyable (j'ai même croisé le père noel dans un pogo... si si !), et soudain, un type arrive à monter sur scène, déjà content de la performance, il s'apprête à descendre quand le guitariste de Guitar Wolf l'inerpelle et lui balance sa gratte en lui disant de finir le morceau à sa place... n'ayant visiblement jamais tenu une guitare dans ses mains le type est bien ennuyé, alors le guitariste de guitar wolf lui apprend des pauses de rockstar et lui fait tenir un accord pour la fin du morceau. Moment fun intense, tout le monde se marre, tout le monde jumpe, une vraie bonne ambiance. La fin de concert sera encore plus inattendue, notre ami guitariste se met à escalader les murs d'enceintes du chapiteau, à un bon 3 mètres de haut, prend une pose de guitar hero avant de plonger dans le vide sur la scène... personne n'en croit ses yeux, il met un petit moment avant de se remettre de bout et ils finissent enfin le concert en beauté. Chacun dans le public se disperse, des étoiles plein les yeux. Terriblement inattendu ce concert.

Nous assistons ensuite à la fin du set de Vive la fête sur la grande scène. Pas très bon à vrai dire, ce groupe est vraiment en train de se décomposer à vue d'oeil, il est temps de faire quelque chose...


Enfin (et enfin n'est pas peu dire, avec 20 minutes de retard), la tête d'affiche du jour s'installe sur la Last Arena, il s'agit évidemment du Wu-Tang Clan, salués par une armée de mains qui forment un W et de cris bestiaux "Wu ! Wu ! Wu !". Ils entament directement par un tube, et puis finalement se disent qu'il ne faut pas baisser de niveau, alors il les enchainent un par un, pour nous faire vasciller encore et toujours. J'ai quand même encore du mal avec l'aspect scènique des concerts de rap que je ne trouve pas fort intéressant, mais ce soir on a quand même vécu un bon moment d'anthologie.



A demain pour la suite !

merci takaa.
ca comblera ma lacune a ne pas connaitre ce festival !

Dour Festival Day 2 :

De retour sur la plaine de la machine à feu pour un deuxième jour de.... fooooooliiiiiiiiie !! (nostalgie du Club Dorothée tout ça tout ça...)

Le premier à qui nous avons rendez vous est Sean Lennon, sur une des deux grandes scènes du festival. Par cette chaleur étouffante, Sean nous rafraichit de ses ballades pop sucrées à souhaits qui auront conquis plus d'un festivalier cet après midi. Je l'ai trouvé bien meilleur qu'au Grand Mix quelques mois plus tôt pour ma part, moins de communication certes, mais plus concentré sur le concert justement, et ça n'était que meilleur, d'autant que cette fois la set list a été gérée avec intelligence. De plus il a bénéficié d'un excellent son.

Grand écart pour la suite avec Terror. Les dieux du hardcore ont livré un set du tonnerre et ont défoncé tout le monde sur la scène hardcore ce vendredi, ils avaient tout : le jeu de scène, le son, les morceaux. Concert d'anthologie, le public y a laissé sang et sueur dans le circle pit le plus immense que j'ai jamais vu !!

Animosity prennent la suite pour un set assez moyen il faut bien le dire, un line-check baclé donc un son pas terrible, pour un groupe de jeunot qui n'est pas meilleur pour autant d'ailleurs... ça passe le temps mais pas plus.

On se rend ensuite sur la scène d'en face pour assister au concert des No Means No, les papys du rock font groover le public dans un style assez fun (batteur en short à fleurs), très sympathique à voir même si nous n'avons pas pu voir grand chose...

En effet, il a rapidement fallu se rendre au concert de Converge, un des groupes qu'on attend au tournant après leur dernier album (No Heroes) parfait. Et le moins que l'on puisse dire c'est que l'essai fu transformé ! Un son du tonerre, une énergie à revendre, un Jacob Bannon déchainé qui hurle à la mort, saute dans tous les sens, parcoure la scène de gauche à droite sans arrêt et nous remercie d'être venus entre chaque morceaux, les tubes s'enchainent, beaucoup du dernier album... le morceau No Heroes a particulièrement transporté la foule et bien sûr le tube Concubine a provoqué une véritable guerilla dans la fosse. Sacrés Converge ! Le genre de concerts dont on pourra dire avec fierté "on y était"

On aperçoit Sharko quelques minutes... oh lal a mouais... heureusement que c'est seulement quelques minutes, on s'éclipse bien vite

De retour sur la scène hardcore pour le final avec les plus punk des coreux du jour : Sick of it all, chapiteau archi blindé et foule en délire, pour un hardcore qui mélange le metal avec une grosse dause de punk, sympathique même si ce n'est pas nécessairement le type de hardcore que je préfère, le son était très bon, le set carré. Très bon groupe.


On s'essaie ensuite à un record des plus courageux : tenir le plus longtemps lors du set de Clap Your Hands Say Yeah !... on a tenu un quart d'heure mais la voix stridente d'un chanteur en mode Donald Duck enrhumé et son armée de guitares toutes plus stridentes et atroces que les autres a eu raison de nous... massacre... heureusement une fois de plus, la merguez était là....


On matte un petit peu le set de Stereo Total, un truc dans le genre electro-clash bien fun comme les belges adorent, avec une fin de set où des dizaines de personnes du public montent sur scène pour danser. Bon, c'est pas le concert du jour mais c'est pas mal, et surtout ça décrasse les oreilles après Clap your hands...


On assiste rapide à quelques minutes du début du set de Bright Eyes... chiant... nous passons notre chemin


Enfin l'heure est arrivée de terminer la journée avec le concert de Goose, groupe qui a terriblement la côte depuis 6 mois en Belgique, je les avais déjà vus il y a un an dans ce même Dour Festival, mais sous un petit chapiteau, à 2H00 du matin, et ce soir ils jouent à Minuit sur la grande scène du festival... c'est dire si l'ascension est vertigineuse, mais toutefois amplement méritée. Ils nous on délecté ce soir d'un electro-rock rageur des plus excellents ! la plaine était ce soir remplie de personne reprenant en choeur les paroles des hymnes du groupe qui aura sans doute fait ce soir de nouveaux adeptes. En espérant que ce concert aura de nombreuses retombées dans l'hexagone....



Voilà, c'est tout pour aujourd'hui, à demain pour la suite.

Dour Festival Day 3 :

Nous revoici sur le site de la machine à feu pour un troisième jour et un programme assez chargé. On commence directement avec 108 le groupe hardcore mythique qui vient mettre une raclée aux festivaliers assez courageux pour affronter la véritable canicule en ce samedi après-midi. Un guitariste surexcité faisant voler sa gratte dans tous les sens, un bassiste qui grimpe sur les enceintes et un chanteur rempli de colère et de rage, il n'en fallait pas moins pour livrer un set d'une telle intensité, avec évidemment les excellentes compos et le son énorme qu'on leur connait. Le groupe un peu tendu au début semble plus à l'aise morceau après morceau, et l'on verra même le chanteur aller pleinement au contact de la foule et tendre son micro etc... cette journée s'annonce déjà très bien.

On se dépèche alors pour assister à la fin du concert de Treponem Pal, pas mal, ils reviennent un peu (de loin) mais ils ne sont quand même pas au niveau d'antan, et surtout, ils font un peu copie ridicule avec ce chanteur qui se prend pour Al Jourgensen et le clavier à la coupe de Mike Patton. Enfin bon, un peu rassuré tout de même.


Après avoir été nous rafraichir nous nous apprêtons à affronter le duo le plus bruyant de ce festival : Black Cobra, et je dois dire que comme à Liège quelques mois plus tôt ce fut une nouvelle fois incroyable, le son, les riffs jouissifs, la technique, l'agressivité et la rapidité, ils avaient tout ça et même plus. Je suis définitivement fan de ce groupe et ils ont d'ailleurs conquis le public qui ne les connaissait pas encore ce jour là.

On se rafraichit de nouveau en écoutant Walls of Jericho, pour qui la descente semble vertigineuse, enfin bref passons....

Puis viens l'heure de Punish Yourself, probablement le groupe le plus spectaculaire avec Sunn O))) de ce festival, là encore un concert d'anthologie, peut être même le meilleur de punish que j'aie vu, son énorme, public déchainé, du tube et encore du tube (suck my tv, rock 'n roll machine etc...), Vx qui plonge sur nous et nous fout de la peinture fluo partout sur nous du coup, sex, drugs and rock 'n roll !! la formule est complète, comme d'hab ils assurent un set très théâtrale avec une danseuse topless, des scies circulaires etc... puis Vx casse une bouteille de vodka sur un retour et se met à se scarifier le torse sur scène... le sang cool... show extrème, et la fosse est plus que jamais transformé en véritable four... immense !!!

Un petit tour devant Nid & Sancy, trop de monde, pas moyen d'entrer sous le chapiteau, pas grave je les ai déjà vus un paquet de fois.

On se décide donc à aller voir Griots and Gods (The Young Gods + Dalek), un show hypnotique vaporeux aux montées malgré tout légères, assez déroutant quand on connait la puissance de feu des young gods d'habitude, une fois de plus on aura droit à des tubes, et notamment une version semi-acoustique de "Kissing the sun" surprenante. Bon, on ne va pas mentir, ça n'arrive pas au niveau des concerts des Young Gods traditionnels mais c'est vraiment pas mal du tout.


Après avoir vibré sur le son des griots and gods on se rend du côté de la grande scène pour les hilarants Brujeria, l'humour de ce groupe de terroristes mexicains masqués est aussi gras et fin que leur musique grindcore. Un moment de franche rigolade non-sans bons morceaux et avec un son mortel, qui restera dans les mémoires, et puis on a eu évidemment droit à la reprise de la macarena, "la marijuana"

On prend alors un petit remontant et on regarde le début de Dropkick Murphys, une musique pourrie interminable en guise d'intro, puis une sorte de bouillie infame avec un chant qui beugle faux et une cornemuse... pouah ! on passe...

C'est un peu l'heure creuse, on regarde Fixmer & Mc Carthy quelques minutes, et c'est pas mieux... atroce


Plein d'espoir nous allons donc voir Autechre, hélas c'est la déception du jour, pas terrible du tout, quelques beats et beaucoup de basse, l'expression "beaucoup de bruit pour presque rien" lui allait à ravir ce soir, moi qui aime les disques je suis vraiment déçu.

On termine par Justice pour finir la soirée, comme je m'y attendais c'est une grosse arnaque, impossible d'en faire une critique plus complète tellement c'était vide... quand je pense à tout ces gratte papiers et pseudo-spécialistes musicaux qui se paluchent sur eux en disant que c'est révolutionnaire ça me fait bien marrer...


-------------------------------------------------------------------------------------



Dour Festival Day 4


Dernier jour de festival et on a sorti toute la panoplie bruitiste aujourd'hui même si ça commence soft avec les Black Angels, set très sympathique, bon son de gratte mais set beaucoup, beaucoup trop court, on a à peine eu le temps de se mettre dans l'ambiance, dommage.

On va ensuite voir Zucchini Drive, une sorte de Beastie Boys electronique du pauvre... bof bof...

La légende japonaise Merzbow s'installe ensuite, un concert baclé par un son pourri surement pas adapté au chapiteau, dommage, encore un artiste que j'adore qui ne passe pas vraiment le test du live, à revoir toutefois.


les américains de The Thermals sont les suivants, on va passer très vite, c'est juste du teenage rock mal dégrossi sans saveur.

le trio de Wolf Eyes viennent ensuite nous déchirer les tympans, bien qu'un peu linéaire, le groupe a donné un concert très intense en énergie et en bruit blanc, boules quies obligatoire pour ne pas finir sourd... waouh !


Enfin Sunn O))) (le groupe que j'attendais le plus) amènent leur bonne quinzaine d'amplis et autant de baffles... de la fumée à gogo, une balance assourdissante, voilà qui nous laissait espérer le meilleur, ils se pointe donc dans une chaleur étouffante sous leurs uniformes habituels. Attila, le chanteur ( de Mayhem, invité par les deux membres permanents de Sunn O))) ) nous gratifie de sa collection de techniques de chants variée, assez hallucinant, malgré tout, c'est un peu long à démarrer, mais enfin Greg Anderson et Stephen O'Malley se pointent sur scène, bouteille de vin à la main pour se rafraichir, et nous décochent des riffs dooms d'une lourdeur extrème.... waouh, on plane vraiment... le son est à la hauteur de mes espérances sauf pour le guitariste de droite qu'on distingue mal, mais la puissance est là, le concert est hypnotique avec ces visions malsaines de messe noire. Instant magique, Sunn o))) créent une véritable dépendance à l'infra-basse... on en redemande !


On se dépèche alors de parcourir la centaine de mètres qui nous sépare de Black Rebel Motorcycle Club, un son moyen de loin mais beaucoup mieux dès qu'on atteint une distance raisonnable de la scène, un set correct mais pas trancendant, pas mal, mais pas de claque non plus.


Chemin inverse pour aller voir 65 days of static, un set au son nickel (presque étonnant de leur part) mais, comme Nid & Sancy, mauvais choix de scène, beaucoup trop de monde et pas moyen d'approcher, dommage.

Passage rapide devant Jason Forrest Band, ridicule, du mauvais electro avec un chanteur chauve qui gesticule partout dans une chemise immonde... la touche fun de la soirée malgré tout...


Enfin Wilco pour cloturer cette édition 2007, pas terrible, pop pour minette à deux balles avec des solos hard FM interminables et des passages de 30 secondes énervés sortis de nulle parts... lose...





-----------------------------------------------------------------------------------

Bilan du Festival :

On a eu droit à une édition radicalement différent de celle de 2006, niveau organisation c'était vraiment pas terrible, trop de monde, des scènes mal organisées etc... malgré tout, l'esprit et l'ambiance Dour sont toujours là mais on espère un festival plus respirable en 2008. Niveau programmation, là où les groupes de metal et de hardcore avaient échoué en 2006, le crû 2007 a été très bon, mention spéciale aux groupes de Doom qui ont vraiment assuré (et je le dis sans parti pris), l'electro a été victime de mauvais choix (groupes loses et aussi mauvais choix de scènes pour quelques groupes), enfin les grandes scènes ont aussi été mal utilisées, on y a vu beaucoup trop de ska et de reggae ce qui fait que les gens comme moi qui n'aiment pas ces styles musicaux ont dû se taper les chapiteaux sous 40°... pas glop... Mais dans l'ensemble très bon festival encore une fois, vivement l'année prochaine.


Ce qu'on retiendra particulièrement :

Les réussites : Black Cobra, Sunn o))), Blutch, Om, Terror, Sean Lennon, Wu-Tang Clan, Guitar Wolf, Converge, Goose, 108 et Punish Yourself

Les déceptions : Autechre, Merzbow


La lose : Clap Your Hands Say Yeah, I love UFO, Aaron, Sharko, Wilco

Merci pour ces super CR David!

j'aime bien aaron

zakdoeken a écrit:

j'aime bien aaron

Et moi je suis amoureuse d'eux ...


En tout cas merci d'avoir pris le temps de faires ces longs comptes rendus